vendredi 9 novembre 2012

Charte de l’élu loyal et soumis selon I.Russo (2ème partie)

Bonjour,
Suite de la 1ère partie publiée le 13 octobre dernier : 

 
Charte du conseiller Loyal et soumis selon I. Russo (suite)
 
 
Article 5
Tu ne te montreras pas au courant d’un dossier que Mme le Maire ne connait pas ou plus au courant qu’elle, même s’il s’agit d’un de tes domaines de compétences;
tu reconnaitras volontiers et spontanément t’être trompé(e) si le maire émet des doutes sur ta propre opinion ou les faits que tu présentes.
 
 
Article 6
Tu vanteras les mérites de Mme le Maire publiquement et en privé, en louant sa capacité de travail hors du commun et ses compétences, son sens du dévouement à la fonction  au service exclusif des Drémilois et son désintéressement la conduisant même à engager ses propres deniers dans le cadre de sa fonction.
 
Article 7
Tu n’exprimeras aucune frustration sous aucune forme que ce soit si par mégarde Mme le Maire omettait de répondre à une de tes questions formulée oralement ou par écrit du fait de son emploi du temps extrêmement chargé.

A suivre…
MIDL 31280

5 commentaires:

  1. Je suis stupéfait de la véracité de vos articles. Vous devez très bien connaitre Russo ou vous avez du interviewer beaucoup de gens qui la cotoyent. A moins que des micros trainent ... Russo doit le craindre, connaissant sa parano.
    J'ai moi-même vécu ce que vous décrivez dans votre article 5; j'ai rencontré Russo pour un dossier que je connais parfaitement. Elle s'est exactement comportée comme vous la décrivez. Elle n'a pas arrêté de me contredire en disant que je n'y connaissais rien comparé à elle jusque'à ce que je lui déclare par lassitude qu'elle avait raison. Elle a changé d'attitude et s'est mise à me traiter comme un subalterne et plus comme un ennemi: "faites ceci, faites cela!" Le dossier a capoté à cause de sa stupidité, elle ne me salue même plus lorsqu'on se croise.

    RépondreSupprimer
  2. C'est plutôt rigolo vos articles Midl, mais avec toutes les turpitudes de Russo en réserve, vous allez devoir re-écrire tout le code civil...
    A propos, les Dremilois savent ils que notre chère maire a des convictions politiques plutôt extrêmes ?
    Le croustillant dans tout ça est qu'elle n'a pas hésité à violer ses propres convictions en allant voter au bureau de Flourens lors des primaires du Parti Socialiste: un de mes amis l'a vu- impossible de la confondre !
    pourquoi selon vous? Parce le conseil général est dirigé par le PS et qu'elle veut se montrer...
    Elle n'a pas compris, cette stupide, que ses demandes de subvention seront traitées de la même façon : les dossiers sont instruits par des fonctionnaires indépendamment de la couleur politique du maire.

    RépondreSupprimer
  3. C'est vrai qu'elle n'a pas encore compris que les subventions tomberaient, même si elle ne paie pas en nature.
    Il n'est pas indispensable de cirer les bottes comme elle le fait.
    Soit, elle détruit, soit elle cire les pompes. Mais à quel moment cette bonne femme est elle-mème ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Jamais, elle a passé sa vie à imiter les autres.Une bien grande tristesse, quel vide ... elle croit qu'avoir une personnalité c'est être forte en gueule et brutale. Elle finira dans une solitude extrême et rejetée de tous. Mais même ça elle peut pas comprendre.

      Supprimer
  4. Des copains,ont eu l'occasion d'être placés, juste à côté de notre maire,lors d'une rencontre dans un village voisin. Ils sont ressortis, dans un état de fatigue, épouvantable.

    En fait, a-t-elle expliqué, depuis qu'elle est arrivée, elle a pris les choses en main concernant le personnel communal.
    Elle mène tout son monde de main de maître, elle les a mis au plis.

    Choqués de ses propos qui n'avaient, d'une part aucune place dans le contexte et d'autre part qu'ils estimaient péjoratifs, ces personnes ont vite cerné la personnalité de notre maire.

    Inquiéts par les propos qu'elle tenait et connaissant les problèmes dans notre village, ils ont estimé qu'elle ne manquait pas de souffle.

    L'un deux, chef d'entreprise, est resté littéralement, scotché devant l'expression d'une telle vantardise.
    Il a conclu, qu'un tel besoin de se faire mousser est caractéristique d'une personne qui n'est pas très sure d'elle.
    Nous savons tous que la réelle reconnaissance des employés, dans le public, comme dans le privé, n'a pas besoin d'être affichée ainsi, en permance par le patron ou l'élu.

    Un bon leader est apprécié et suivi dans ses actions.
    Il n'a pas besoin de se faire de la publicité dès qu'il sort de chez lui.

    Personnellement, je me suis permis, bienqu'un peu plus éloigné, maintenant, de remettre les choses à leur place.
    On ne peut pas laisser les choses se dire ainsi.




    RépondreSupprimer