mardi 21 août 2012

Pourquoi le Conseil Municipal ne s’oppose t’il pas aux agissements du Maire ?

Bonjour,
Les deux séances du conseil municipal les 25 et 31 juillet derniers nous fournissent l’illustration parfaite de conseillers « à la botte » du maire en toutes circonstances.
Le constat est cette fois gravissime : comment ces élus peuvent-ils manquer à ce point de courage ni posséder une seule once d’intérêt collectif pour courber l’échine et accepter l’humiliation que leurs impose le maire ?
Car c’est bien d’humiliation dont il s’agit lorsqu’on met systématiquement de côté ses propres valeurs et convictions pour ne pas faire de vague ni contredire le maire ou risquer une « remontée de bretelles » dans le bureau du maire !
Ces élus se sont-ils interrogés sur leur vie au sein de la commune à l’issue de leur mandat ?
Sont-ils capables d’affronter la colère probable des familles faisant appel aux services de Temps Déj à la prochaine rentrée suite à l’acharnement du Maire et de ses hommes de main à détruire cette association?

L’équipe MIDL a décidé de mener une étude détaillée sur les rouages mis en œuvre par le Maire pour assurer la domination totalitaire sur la majorité du conseil municipal à l’exception de quelques élus. Cette étude s’appuiera sur l’avis de spécialistes en psychologie et comportement humain déviant à qui nous fournirons toutes les informations disponibles afin d’interpréter les point-clefs de cette domination.
A suivre…
MIDL 31280

7 commentaires:

  1. TEMPS DEJ, depuis le début,passe mal.
    C'est une histoire de personnes.

    La tête n'est pas soumise.
    Les responsables questionnent, s'opposent, n'acceptent pas d'être manipulée.

    C'était gênant.

    Un coup de balai et c'est fait ! Tout gérer, tout contrôler, tout manipuler et maintenant devenu, possible.

    Avec l'autorité en place, ce qui pose un problème doit disparaître et se trouve anéanti.

    Il en est de même pour les humains.

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    1. Je suis d'accord avec vous. A chaque fois que quelqu'un lui tient tête ou s'insurge devant ses comportements aberrants, la maire décide de s'en débarrasser en s'aidant de la couardise ou de l'ambition de quelques uns de ses conseillers. Elle a décidé, là, de supprimer la présidente et le bureau de temps Déj' qui ne sont pas entrés dans son jeu. Tout comme elle a supprimé ceux qui s'opposaient à elle depuis 2008. Elle continuera sur sa lancée jusqu'en 2014 si personne ne l'arrête.

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    2. Quand on est responsable d’une entité, qu’il s’agisse d’une entreprise ou d’une association, il faut savoir prendre la mesure de ses interlocuteurs qui peuvent être sains d’esprit ou tout le contraire, et adapter son attitude et son discours en fonction de l’objectif que l’on recherche.
      Il semble que les dirigeants de Temps Dej n’aient pas su s’adapter à la personnalité très particulière de Mme le Maire et entretenir des relations susceptibles de protéger leur association.
      Or, contrairement à d’autres associations qui peuvent assez facilement fonctionner de manière autonome et qui peuvent de ce fait être beaucoup plus distantes vis-à-vis des demandes communales, Temps Dej est hautement dépendant de la subvention municipale et aurait du, de ce fait, accepter le « partenariat » qui en découle. Temps Dej a beau être une association autonome à part entière, elle n’en est pas moins sous dépendance et c’est cet aspect qui n’a pas été bien appréhendé par ses dirigeants. Maintenant cela ne veut pas dire jouer les bénis oui-oui et dire amen à toutes les excentricités de Mme le Maire, mais une « certaine diplomatie » eut été profitable (d’aucuns diraient jouer les faux-culs). Or, quand on a affaire à un interlocuteur vicieux, il faut être encore plus vicieux.
      Maintenant que le processus irréversible est engagé, il ne nous reste que les yeux pour pleurer et des regrets, et ce n’est pas les « ah, si j’avais su !.... » qui vont inverser la volonté de la Mme le Maire à se débarrasser de Temps Dej.
      Le plus désolant et rageant dans l’histoire, ce sont les emplois qui vont être perdus, du moins ceux qui ne seront pas repris par le prestataire de service, ce qui est toujours possible.

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  2. Prenez-vous conscience de ce que vous écrivez ?
    Vous êtes entrain de démontrer qu'il faut modifier sa bonne moralité et ses comportements normaux pour bénéficier des grâces du pouvoir ?
    Où allons-nous ? On perd une association, on perd la santé mais il fallait s'adapter au pire ?
    Passez-y, un peu et vous verrez comme c'est sympathique, au quotidien.

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    1. Je suis d'accord avec cette réponse.
      Il faut être complètement tordu et n'avoir aucun amour propre pour jouer les faux culs et rentrer dans le jeu de cette personne malfaisante qu'est l'actuel maire de Drémil-Lafage.
      Sa place est dans un asile, voire en prison pour tout le mal qu'elle a fait et qu'elle continue de faire.

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    2. J’y suis passé, c’est pour ça que j’en parle en connaissance de cause.
      Il faut bien comprendre que Temps’Dej n’est pas une association de loisirs comme le Foyer rural ou la Musique. Temps’dej assure une prestation de service public pour le compte de la Commune et doit donc, nécessairement, fonctionner en partenariat avec celle-ci. En fait, c’est la Commune qui est pilote dans l’affaire puisqu’elle définit le projet éducatif qui doit être mis en œuvre par l’association qui se trouve être délégataire du service. Pour définir les obligations de chaque partie, une convention doit être signée entre elles, et c’est sur la base de ce cadre réglementaire que la CAF autorise le versement de la subvention Enfance-Jeunesse.
      Les deux entités doivent donc s’entendre pour travailler ensemble, de gré ou de force, en laissant de côté les ego pour ne voir qu’un seul objectif : l’accompagnement éducatif des enfants. Les interlocuteurs doivent s’adapter pour s’entendre, même parfois en se faisant violence et sans pour cela renier sa bonne moralité. Tous les jours dans la vie, on adapte son comportement aux évènements et aux difficultés que l’on rencontre. Si on n’est pas capable de le faire, on passe la main.

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  3. N'attendez surtout pas un geste de cette nature avec cet individu qui est devenue maire parcequ'elle ne l'avait jamais été.
    En effet, lorsque l'on est mère on sait aborder les problèmes pour trouver un équilibre. On ne met pas toujours son égo en avant ?
    Comme quoi, si l'on ne choisit pas sa mère, on peut se tromper sur son maire. La différence est, que, normalement, ça dure moins longtemps.
    Drémilois, drémiloises, la prochaine fois que l'on vous demander de choisir votre Maire. Ne vous fiez pas aux apparences car une maire peut en cacher un autre de bien meilleur. Mème celui que l'on croyait le plus mauvais peut maintenant paraître, non pas meilleur mais plus honnête, plus loyal, plus normal.

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