dimanche 20 mai 2012

Anciens locaux du Centre de Loisirs : que vont-ils devenir ?

Bonjour,
Les anciens locaux du Centre de Loisirs au cœur du village sont toujours sur pieds, ou plutôt sur murs. Cette ancien logement des enseignants en poste à Drémil-Lafage a ensuite hébergé les activités du Centre de Loisirs jusqu’à l’ouverture de la nouvelle école élémentaire André Duperrin où a alors déménagé le Centre.
Alors que les travaux des ensembles locatifs sur le site des anciens terrains de tennis progressent maintenant à un bon rythme (fondations achevées et piliers coulés), pourquoi cette ancienne maison n’est elle toujours pas démolie ?
Nous n’avons trouvé nulle trace du devenir de cette ancienne maison dans les comptes-rendus de conseils municipaux au moment de la validation du projet de la nouvelle construction.
Comme malheureusement les plans de cette construction ne sont pas affichés en Mairie, encore une communication manquée du Maire et son équipe, nul ne sait ce qui est prévu pour cette petite maison.
Y aurait-il un projet "confidentiel" à propos de cette maison ?
Peut-être s’agirait-il d’une bonne idée, mais la maladie du secret qui hante le Maire ne permettra pas aux Drémilois de juger avant sa terminaison.
Dommage, dix fois dommage….
A suivre…
MIDL 31280

7 commentaires:

  1. Pour alimenter l’information sur ce sujet, le compte-rendu du CM du 8 avril 2010 nous apprend que Mme le Maire a obtenu, en compensation d’une ristourne de 50.000 € accordée à la société Promologis, par rapport à la promesse unilatérale de vente signée en janvier 2008 :
    * l’absence de démolition du Centres de loisirs (estimée à 15.000 €), ce bien consolidant le patrimoine de la Commune.
    * la prise en charge de la voirie « passage de l’Isatis » (non chiffrée).
    A défaut de plan, tel que l’on peut comprendre ce compte rendu, le Centre de loisirs et le passage de l’Isatis (passage entre Centre de loisirs- salle de musique d’un côté et ex-tennis de l’autre) ne semblent pas compris dans la parcelle de 3400 m², objet de la vente. Différentes questions restent donc pendantes :
    * Si le CdL ne fait pas partie de la parcelle vendue, pourquoi la démolition était-elle prévue par la Commune et plus maintenant ?
    * A contrario, dans l’hypothèse où le CdL fait partie de la parcelle vendue, pourquoi la destruction incombait-elle à la Commune ?
    * Malgré le flou de la compensation «négociée» par Mme le Maire, aucune demande explicative n’a été faite par un élu et tout le Conseil, comme un seul homme, a accepté cette «ristourne» et voté la décision.
    Par pure coïncidence, cette pratique est à rapprocher d’une autre affaire de vente de terrain (terrain de basket) où pour des raisons inconnues, Mme le Maire avait aussi accordé une ristourne.
    Or ces « largesses » sont-elles vraiment octroyées dans l’intérêt général de la Commune ? Pour éviter toute ambiguïté, il serait souhaitable que Mme le Maire s’explique clairement sur ces affaires, auprès des Drémilois, soit en CM, avec compte-rendu, soit dans une prochaine Brèves (là on risque d’attendre) ou encore dans la prochaine Newsletter drémiloise.

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  2. Heureusement qu’il y a des personnes qui savent chercher l’information et lire entre les lignes dans le flou artistique dont nous abreuvent le Maire !
    Bravo à vous !!
    Quant aux fameuses ristournes, on apprendra un jour la vérité, et ce ne sera pas joli joli…
    Qu’elle continue à faire les choses dans son coin sans informer le conseil municipal, comme ça, le jour où elle se fera prendre les mains dans le pot de confiture, elle ne pourra pas en rejeter la responsabilité sur quelqu’un d’autre !!

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  3. Qui l'ouvrira, un jour par respect de la démocratie et par respect de la fonction d'élu(e).
    Tout ceux qui cautionnent sont responsables de la déchéance morale de ce conseil.
    Qui ne s'oppose pas, consent.
    Si le pire devait arriver, qui serait réellement responsable.

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  4. Je propose que cet ancien local soit reconverti en local poubelle pour la future résidence actuellement en construction.
    Et comme cette mairie semble friande de noms de baptême pour un oui ou pour un non (baptême de la place du village, du foyer rural, bientôt de la maternelle...) je suggère à notre autoritée (pfff) qu'elle y appose sur une plaque son propre nom.

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  5. je pense que la véritable souffrance ne se traduit pas par des paroles calomnieuses ou des propos insolents.
    Une telle attitude reviendrait à employer les mêmes méthodes que nos destructeurs. (le maire n'est pas seule, elle a un conseil).Il serait peu flatteur de devenir pire.
    Une réelle prise prise de conscience quant au besoin d'une vraie justice est, je crois entrain de se mettre en place.
    Stop à l'intimidation, à la dénonciation cachée, à l'anonymat de protection. Passons aux choses sérieuses de manière noble et honnête.
    Une instance crédible existe dans notre pays.
    Elle fonctionne bien, on peut lui faire confiance.

    Pour ceux qui disposent de dossiers solides et il y en a, laissons les, comme il est prévu les faire régler de manière démocratique : le procès.

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  6. Ne pensez vous pas que cette dame, certes venue au pouvoir légitiment n'a déjà pas assez marqué son territoire et la population
    Faudra t il en rajouter
    votre idée est à revoir

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  7. n'en rajoutons pas, pitié, pas une plaque qui impliquera une inauguration et une commémoration.
    vous rendez vous compte ?

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